L’essor du Web 2.0 (sites internet, applications mobiles, réseaux sociaux «patients / aidants» aux contenus enrichis et innovants) a permis un renouveau de la communication digitale des laboratoires.
Cette étude détermine cette année — pour chacune des 71 maladies étudiées—, le taux d’intérêt vis-à-vis des 21 services et contenus évalués, le taux d’utilisation et de satisfaction. Elle constitue un véritable outil pour organiser et hiérarchiser l’information, stimuler la réflexion et préparer les décisions.