LE DOSSIER DU MOIS

Les études socio-culturelles servent-elles encore à quelque chose ? (volet 2)

2 Déc. 2020 | Dossiers du mois

Quelle place pour les études socio-culturelles ?

C’est un fait, les études socio-culturelles passent assez souvent au second plan des priorités pour les équipes market-research ou consumer-insight des entreprises. Et il faut bien sûr voir derrière ce phénomène un besoin clair de leur part, celui de partager des éclairages aussi immédiatement actionnables que possible…

Mais n’y a-t-il pas un vrai risque pour les marques à sous-estimer l’importance de ce prisme, surtout par les temps qui courent ? Et n’existe-t-il pas des options permettant de renforcer l’opérationnalité de ces inputs, en visant l’efficacité avant tout ?

Nous vous proposons de découvrir, suite à notre premier volet, les points de vue de Dominique Suire (Stratégir), Diouldé Chartier-Beffa (DCap Research), Inès Bizot et Ilana Dupeyron (June Marketing)

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Découvrez nos précédents dossiers du mois

Hybridation et études marketing : best practices (volet 2)

Hybridation et études marketing : best practices (volet 2)

L’hybridation occupe à l’évidence beaucoup de place dans les échanges entre professionnels du market research. Peut-être parfois trop, au risque de l’effet tarte à la crème…

Et s’il y avait pourtant de vraies bonnes raisons à une telle présence ? Et si ce principe ouvrait radicalement le champ du possible pour les études marketing, tant pour renforcer la pertinence des insights que pour optimiser l’économie des systèmes d’information ?

En mode suite à notre 1er volet, nous vous proposons une nouvelle série de réflexions et témoignages sur ce thème, avec les interviews de Jérémy Lefebvre (Episto), Olivia Teng (Metrixlab), Elodie-Anne Gandelin et Pierre Doignies (Audirep)

Hybridation et études marketing : best practices

Hybridation et études marketing : best practices

Le principe consistant à hybrider les approches études et les données n’a rien de neuf. Mais il s’impose quasiment comme un impératif aujourd’hui. Parfois trop sans doute, avec le risque d’engendrer des dispositifs inutilement complexes et coûteux…

Mais il peut aussi et surtout se traduire par des combinaisons — simples ou audacieuses — particulièrement « smart » et puissantes, conciliant la richesse des éclairages et une astucieuse économie des moyens déployés.

Nous vous proposons une première série de points de vue sur ce thème, avec les interviews et témoignages d’Inès Bizot et Aurélie Plessier (June Marketing), Philippe Le Magueresse (OpinionWay), Gaëlle Chevallier, Ludovic Bajard et Alain Klapisz (BVA / Uptowns / Groupe Renault)

Les professionnels des insights doivent-ils réinventer leur marketing ?

Les professionnels des insights doivent-ils réinventer leur marketing ?

Qu’ils évoluent côté annonceurs ou en institut, les professionnels du market research et des insights sont largement convaincus d’exercer un métier passionnant. Mais, ils le disent eux-mêmes, ils n’excellent guère dans l’art de mettre en valeur leur expertise et ce qu’elle apporte aux entreprises…

Est-ce « simplement » du fait d’un déficit de communication ? Ou bien la réflexion sur les axes de progrès doit-elle être plus large, et porter également sur les façons de travailler et même le rôle de ces spécialistes ?

Nous vous proposons une première série de points de vue sur ce thème avec les interviews de Judith Roucairol (L’Oréal), Valérie Satre (Consultante Insights) et Isabelle Fabry (ActFuture)