Depuis la fin du Covid, les crises se succèdent dans l’alimentaire : pénuries de matières premières, hausse des températures et ses conséquences sur l’agriculture, inflation galopante… Le budget alimentaire des consommateurs n’a jamais été sous pareille pression depuis des décennies. Dans ce contexte, l’idéal du mieux manger traverse une phase de turbulences qui joue les prolongations.
Tous les efforts réalisés pour favoriser un mode de production et de consommation plus responsable l’auront-ils été en vain ? La question se pose quand on voit les mauvais chiffres du bio ou des produits labelisés. La transition alimentaire survivra-t-elle au choc inflationniste ?
Dans le cadre de la 3ème vague du baromètre de la transformation alimentaire, les experts d’Occurrence proposent de mettre à jour les changements profonds qui impactent la manière de communiquer autour de l’alimentation.
Nouveauté cette année ! Les experts d’Occurrence ont croisé leurs analyses avec celles des sociologues de Sociovision qui suivent les tendances alimentaires depuis les années 1980. Les résultats ont été passés au crible de la nouvelle segmentation sociétale du groupe Ifop, les « Microcosmes ».
Parmi les questions traitées :
- Les stratégies vertueuses de long terme au service du bien manger sont-elles encore de mise ?
- Quels discours les filières, les marques, les distributeurs, les pouvoirs publics tiennent ou devraient-ils tenir ?
- Et quelles conséquences pour la responsabilité sociétale des entreprises ?
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